L’amour est éphémère, les femmes sont seules, parfois enlaidies par une maladie mystérieuse, l’atmosphère est morose ou pire : macabre. La mort rôde. Les malheurs petits ou grands fondent sur les humains ; dépression, angoisse, haine s’ensuivent. Ces dix nouvelles sont plutôt lugubres et l’écriture assez banale ne rachète guère l’ensemble, ainsi que le laissait entendre la critique de Chez les Thomas, on est très famille (N.B. nov. 2002).
La troisième femme de Paul.
ROSEN Nicolle