Dans l’espace intersidéral, le vaisseau spatial gigantesque du « technopère » suprême, Albino, continue d’emmener cinq cent mille jeunes vers « la galaxie promise' », titre du prochain et ultime tome de la série (Cf. tome 6, Les secrets du techno-Vatican, N.B. août-sept. 2004). Poursuivi par les techno-cuirassés menés par trois gigantesques serpents maléfiques, il parvient à traverser le mur interminable qui ferme le vide devant lui et à le refermer sur l’ennemi. Et tandis que le voyage reprend, Albino continue de dicter ses mémoires, racontant à ses disciples comment il a créé le techno-jeu parfait qui a permis de les sélectionner et de lui faire rencontrer celle qui fut l’amour de sa vie, l’angélique Céleste…
La folle imagination du scénariste est prétexte à des trouvailles visuelles, langagières, événementielles qui ne manquent pas de séduction. D’autant plus qu’elles sont illustrées dans un graphisme hyperréaliste et un travail coloristique de grande classe. « Verbiage et élucubrations ésotériques! » accuseront les adversaires, « science-fiction mythologique ! » affirmeront les admirateurs.