La Pénitente.

Après Le chanteur de sérénades (NB novembre 2004), l’auteur situe aussi ce dernier roman en Corse. Au début du XXe siècle, près de Salerne, deux familles s’affrontent ; les Menghi, des fermiers pauvres, et les Rocca, riches propriétaires terriens. Gilda Rocca, trente-quatre ans, toujours pas mariée, grosse, laide et méchante, a menti : Jean-Baptiste Menghi n’a jamais tenté de la violer. Elle l’a affirmé par dépit. Ce mensonge va déchaîner une sauvage vendetta et le corps criblé de balles de Jean-Baptiste sera retrouvé par sa soeur Carla. Cette dernière n’aura de cesse de le venger. C’est alors un extravagant mélange de prières, d’incantations, de formules maléfiques, de séances d’envoûtement, d’actes de magie noire, d’appels aux forces obscures, d’exorcismes, en tous genres. Trop, c’est trop. La rencontre de l’amour apaisera enfin toute cette fureur.