Lisa est malade

GUTMAN Anne, HALLENSLEBEN Georg

Le plaisir dĂ©licieux que l’on retire Ă  ĂȘtre malade, pas trop, juste ce qu’il faut, est un plaisir qui n’appartient qu’à l’enfance. C’est rassurant de savoir qu’aprĂšs le passage obligĂ©, un peu inquiĂ©tant, chez le docteur, on se fera cajoler, on aura sa maman pour soi, et la permission de guĂ©rir dans le grand lit des parents
 de quoi rendre jaloux Gaspard.

Les petites maladies qui ponctuent