Après les contes d’été, d’automne et d’hiver, Solotareff boucle le cycle des saisons avec quatre-vingt-treize poèmes aux couleurs du printemps. Fantaisies lyriques qui permettent à chacun de découvrir son propre secret (être à l’écoute de soi), de se reconnaître à travers les situations les plus variées, tantôt drôles, tantôt morales, aux conclusions parfois inattendues.
Fable, nouvelles, contes de sagesse aux multiples niveaux de lecture : Solotareff renouvelle le conte à sa manière. Croquant les animaux à la façon de La Fontaine, il épingle les travers des humains. Nonsense, humour au second degré, histoires farfelues. La plupart du temps, la pochade fait référence aux relations garçons-filles et aux couples : cela amusera-t-il les plus jeunes, ou séduira-t-il les ados ?