Le Dr Jeremy Carrier, psychothérapeute attaché à l’hôpital City Central de Los Angeles, reste bouleversé par l’assassinat de sa petite amie. Six mois ont passé sans que le meurtrier ait été identifié. Jeremy, lui-même soupçonné, se retranche de plus en plus dans son travail jusqu’au jour où de troublantes missives anonymes lui parviennent. À deux articles sur la chirurgie au laser succèdent l’annonce de la découverte d’une jeune fille morte, affreusement mutilée, puis une brève note sur les suicides de médecins. Un ami ou un ennemi cherche-t-il à lui transmettre un message ? De son côté, la presse locale fait état de trois nouveaux assassinats de femmes. Le temps presse. En marge de la police, Jeremy décide de mener l’enquête.
Après La preuve par le sang (N.B. fév. 2006), encore un livre traduit du prolifique auteur à succès Jonathan Kellerman. Le suspense, toujours de même qualité, tient le lecteur en haleine jusqu’au bout. Le dénouement risque de décevoir. Mais on ne s’est pas ennuyé.