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Avoir un père qui écrit des livres d’enfants donne l’impression d’être vampirisé : c’est ce qu’éprouve Arthur en retrouvant tous les éléments de sa vie dans les ouvrages de son père. Même ses frasques à l’école ne restent pas longtemps secrètes. Père et fils vont devoir trouver un terrain d’entente, entre respect de la vie de l’enfant et amour des belles histoires à partager.
Le style pétillant, l’humour des situations racontées par le petit garçon, la tendresse qui dédramatise le récit se savourent dès les premières lignes de ce roman, parfaitement mis en page et construit.