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Où la série fantastico-démoniaque progresse laborieusement vers sa fin. Encore un album et ce sera fini ! Ce nouvel opus n’amène pas à changer grand-chose dans l’analyse du précédent (La porte des enfers; N.B. août-sept. 2005). Le scénario reste un embrouillamini dont le but unique est de servir de prétexte à des débordements de combats entre monstres, démons et mages. À noter cependant la qualité d’impression, nettement supérieure à celle du précédent tome, permettant d’apprécier l’énorme travail graphique et la profusion baroque des inventions de mise en page, l’imagination dans les créations de personnages et l’utilisation massive des couleurs aux tons de feu, de sang et de souffre.