Hubert Nyssen invite le lecteur Ă Neuf causeries promenades : il note les saveurs du hasard qui lâont ramenĂ© en tant que âmembre Ă©trangerâ Ă lâAcadĂ©mie Royale de Belgique dâoĂč, jeune Ă©tudiant, il sâĂ©tait vite Ă©chappĂ©, rend hommage Ă Victor Hugo et Ă ses prises de position politiques, surtout contre la peine de mort. Il raconte les « trois mille pages de Giono », correspondance tĂ©moin dâune relation de trente ans, les coĂŻncidences qui le lient Ă Simenon, Ă©voque Albert Cohen et Colette, digresse sur les arbres et conclut sur ce mas provençal enfin trouvĂ©.  Dans ce mĂ©lange hĂ©tĂ©rogĂšne de confĂ©rences, lettres ou essai, presque sur un ton de confidence, lâauteur vagabonde dâĂ©vocations personnelles en clins dâoeil littĂ©raires, anecdotes Ă©rudites et pensĂ©es philosophiques, pour le plaisir du lecteur.
Neuf causeries promenades
NYSSEN Hubert