La quadrature du meurtre.

ALESSANDRINI Jean

Maxence de Ridder, ayant fait fortune dans la vente d’armes, est retrouvĂ© mort dans le triplex de luxe qu’il s’était fait installer au sous-sol de son immeuble parisien. Comme il Ă©tait d’origine nĂ©erlandaise, l’enquĂȘte est confiĂ©e Ă  la fois Ă  une femme commissaire de police française et Ă  un policier hollandais. Ayant rapidement Ă©liminĂ© l’hypothĂšse d’un suicide, ils recueillent les aveux de trois membres de la famille s’accusant chacun du meurtre
 Il faudra toute la perspicacitĂ© des deux limiers pour rĂ©soudre l’énigme. Le policier hollandais est le personnage le plus pittoresque : douĂ© d’une mĂ©moire extraordinaire, il est capable de dĂ©crypter les mĂ©canismes les plus compliquĂ©s, comme ses idoles Sherlock Holmes et Hercule Poirot. Un tel limier est-il encore vraisemblable aujourd’hui ?

 

AprĂšs L’üle de Purgo-Pongo (NB juin 2003), premier roman pour adultes d’un excellent auteur de littĂ©rature pour les jeunes, la quadrature du meurtre veut ĂȘtre dans la lignĂ©e des Conan Doyle ou Agatha Christie, dĂ©montant des mĂ©canismes ultra compliquĂ©s qui paraissent un peu obsolĂštes.