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Comme dans son roman précédent, La conjuration du troisième ciel (N.B. mars 2006), l’auteur nous emmène à Florence en 1300, sur les pas de Dante Alighieri, auteur de La Divine Comédie et prieur de la cité, de nouveau face à une énigme. On a retrouvé une galère échouée dans l’Arno, dont l’équipage a succombé à une maladie mystérieuse. Dante découvre à l’intérieur un engin fracassé et un journal de bord qui ferait allusion à une secte. Par ailleurs, dans une église, une Vierge semble vivante car elle bouge, suscitant un grand émoi. Dante se lance dans une enquête compliquée ; les circonstances de la mort de Frédéric II, les agissements du Pape Boniface ajoutent des indices peu éclairants.
Donnant des éléments sur la vie de Florence et celle de Dante, l’histoire pourrait être intéressante mais elle est extrêmement embrouillée et le lecteur est vite perdu. L’auteur, professeur de littérature et d’histoire, se lance dans le genre policier mais devrait simplifier ses intrigues.