Le violon d’Hitler

À cinquante ans de distance, deux violonistes, l’un sous l’uniforme de la Wehrmacht, l’autre plus discret appartenant aux services secrets israéliens recherchent les preuves de la même hypothèse : Monteverdi devrait l’essentiel de sa gloire à Salomon Rossi, son élève et ami juif. L’auteur, Israélien et aussi violoniste, s’est servi de cette thèse iconoclaste pour bâtir un thriller mêlant Hitler, le Vatican pro nazi, les services secrets israéliens et la musique, ce qui lui permet de nous faire découvrir le talent de Rossi et de nous promener dans quelques villes touristiques renommées. L’histoire comporte bien sûr des invraisemblances, mais l’intrigue soutient le suspense.