Que la lumière soit fête (Sorcelleries ; 2)

VALERO Teresa, GUARNIDO Juanjo

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Tandis que Sortilega se passionne pour les appareils ménagers aux fonctions multiples, Hazel, la petite fée, découvre l’école et s’y fait remarquer. De leur côté, les fées se mettent à sa recherche, bien décidées à la récupérer. Panacéa et Rex se lancent dans la réalisation d’émissions de télévision, et leur fille découvre avec intérêt les vieux grimoires de ses grand-tantes. Tout ce monde se retrouvera pour une bataille échevelée.

Gags et péripéties sont nombreux dans cette bande-dessinée qui joue la carte de la caricature, du ridicule et de l’excès, dans la critique et dans les réactions et expressions des personnages (seule Hazel y échappe). Naviguant entre le monde traditionnel des fées et sorcières aux teintes marron-jaune, et le monde artificiel de Rex et de la télévision au fond rose, l’histoire et les dessins caricaturent la télévision idiote qui fascine et absorbe, le design moderne, l’esprit mercantile, les appareils inutiles. L’humour est bien présent dans cette galerie de zozos excités.

 M.D.