AAprès plusieurs années de vie professionnelle, Antoine de Changy et sa femme Célina décident de réaliser leur rêve en parcourant à bicyclette les steppes d’Asie centrale afin de vivre au contact de la nature et d’aller à la rencontre des autochtones. Partis d’Istanbul, leur périple va leur faire traverser plusieurs pays dont l’Iran, l’Ouzbékistan, et la Chine pour atteindre enfin la Mongolie où ils vont partager pendant une année la vie d’une tribu nomade, peuple d’éleveurs et de chasseurs, excellents cavaliers. Ce voyage, leçon de géographie et d’ethnographie, vaut par l’originalité du moyen de transport adopté. Franchir des cols à 4000 mètres d’altitude et traverser des déserts à vélo constitue certainement un exploit sportif. Toutefois, les auteurs livrent de cette expérience sans doute passionnante pour eux un récit souvent répétitif et monotone qui manque de vigueur et ne parvient pas toujours à intéresser.
L’appel de la steppe : d’Istanbul aux confins de la Mongolie, à la renconte des nomades de l’Altaï
CHANGY Antoine de, ANTOMARCHI-LAMÉ Célina