Publicitaire fortuné, en instance de divorce, Constantin Méliès fuit Paris pour se réfugier chez des amis dans le Tarn. Au cours d’une promenade, il tombe amoureux d’un village abandonné : Peyreméjean. Il décide alors de l’acheter et de le reconstruire à l’identique… Ce projet donne enfin un sens à son existence.
Chantre des romans de terroir (cf. Une reine de trop, NB décembre 2006), Jean-Paul Malaval écrit, avec une certaine sophistication tout de même, sur l’homme tiraillé entre ses passions et sa soif d’absolu. Quelques jolies descriptions de la région et des portraits authentiques de personnages locaux agrémentent ce récit souvent invraisemblable.