Gustave et le cerf-volant

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Gustave s’ennuie, seul à la maison. Sa mère lui suggère de lire, de jouer, de dessiner. Cette dernière proposition séduit enfin l’enfant qui peint le mur de sa chambre et entre dans l’histoire qu’il invente : la rencontre d’une petite fille qui joue avec un cerf-volant. L’aventure devient magique, car il suffit d’un pinceau pour réaliser la suite….

L’imagination sauve de l’ennui et les grandes images peignent les rêves des enfants et de grands espaces de liberté, la gentillesse des relations humaines.  L’illustrateur semble hésiter entre son propre talent et un désir de donner une certaine naïveté à la peinture de l’enfant, pour un résultat inégal.