RĂ©pondant Ă des questions, habilement orientĂ©es, le gĂ©nĂ©ral Aussaresses, quatre-vingt-dix ans, condamnĂ© par la justice pour son livre Services spĂ©ciaux : AlgĂ©rie 1955-1957 (NB juillet 2001), Ă©voque sa jeunesse, ses combats en France et en Indochine, son entrĂ©e dans les services spĂ©ciaux, la bataille dâAlger. Revenu au SDECE, il raconte quelques « coups tordus » du Service Action. Marchand dâarmes chez Thomson, il parle de lâIrak, des Malouines, des frĂ©gates de Taiwan. Pas de rĂ©vĂ©lations sensationnelles sur des affaires connues et dĂ©jĂ abondamment commentĂ©es. Des souvenirs invĂ©rifiables sur quelques sujets moins publics. Des vĂ©ritĂ©s premiĂšres sur les « soldats perdus » dâAlgĂ©rie et les turpitudes des services spĂ©ciaux. Ce livre Ă©tait-il nĂ©cessaire ?
Je n’ai pas tout dit : entretiens avec Jean-Charles Deniau en collaboration avec Madeleine Sultan
AUSSARESSES Paul