Deuxième chronique du règne de Nicolas Ier

Sarkophobe déclaré, l’auteur veut guérir la dépression qui l’a saisi (dixit lui-même) après l’élection de Nicolas Sarkozy en se livrant à un jeu de massacre systématique sur ce dernier, qu’il affuble de tous les surnoms moqueurs imaginables. Les journalistes français étant en majorité antiSarkozy, les sujets abordés sont du « déjà lu », abondamment traités, et souvent plus finement, dans une presse de plus en plus « people ». N’ayant plus l’attrait de l’originalité de la première chronique (N.B. avril 2008), ce livre se lit comme une BD, mais manquent les dessins, et tant de fiel finit par lasser.