Les clochers des églises dominent la ville de Bruges. Mais le mal y règne aussi : suicides suspects, sectes satanistes, trafic de drogue et fusillade meurtrière à la sortie de la messe dominicale. Le commissaire Van In est d’autant plus débordé que sa femme Hannelore, enceinte jusqu’au cou, s’irrite de le voir collaborer avec une jeune journaliste bien séduisante. Le commissaire Van In, la magistrate Hannelore Martens et l’indispensable adjoint Versavel, sympathique trio et héros récurrents de l’auteur brugeois Pieter Aspe, sont à nouveau confrontés à une énigme plutôt compliquée, qu’ils arriveront à débrouiller malgré les tracasseries administratives de leurs supérieurs. Un peu de suspense, un peu d’humour, beaucoup de cafés arrosés et d’innombrables bières Duvel (Diable en français !), voici après Les masques de la nuit (NB mai 2009) un roman policier classique, assez convenu.
La quatrième forme de Satan
ASPE Pieter