Ce jour-là, à peine réveillé, Pierre pense à son grand-père bien aimé. Ce grand-père original et facétieux qui lui avait offert tant de « bonheurs de vivre » est décédé depuis plusieurs mois. Par quel miracle Pierre peut-il recevoir des lettres signées de sa main ? Quel est le rôle de la jolie libraire rencontrée presque par hasard et quelle est la fonction du « mystérieux conservatoire des volontés » dont elle a été l’instigatrice ?
Ce récit à la première personne est d’une écriture trop plate. Comme de jolies petites fables, les missives du grand-père sont autant de questionnements sur la fuite du temps, la fragilité de la vie, le poids des habitudes, la légèreté des sentiments. L’intrigue simpliste et le happy end sans surprise laissent au lecteur un petit goût de guimauve.