La peste animale (Le mur ; 1)

La peste animale a répandu la terreur et les hommes se sont entassés derrière Le mur, isolés d’un vaste désert d’où toute vie a été éradiquée. Pour échapper à la misère des bas-fonds surpeuplés, Mika participe à un grand jeu national, aux commandes d’un avion de chasse virtuel, avec le secret espoir de retrouver sa jumelle, kidnappée naguère, et qu’il refuse de croire morte. Une gérontocratie implacable dirige cet univers de science-fiction – Londres est recouverte d’un toit et de nouvelles habitations, avec mutants et savants fous – mâtiné de fantasy. Deux enfants, reliés par leur gemellité et leurs pouvoirs, affrontent les Têtes d’écran et une société décérébrée par la télévision. On bondit d’un niveau à un autre dans ce long volume d’exposition qui se clôt par une révélation parachutée, réponse à une question qu’on aurait pu se poser plus tôt, au cours de péripéties spectaculaires avant une fin (provisoire). Les amateurs du monde virtuel s’y retrouveront.