Topolina

Topolina fait des ménages dans la journée et vend des sandwiches le soir. Elle passe ses journées à observer les gens et à imaginer leurs pensées. Les confessions d’une femme marquée par la douleur se déroulent en un long monologue, une femme au bord de la folie. Murée dans son silence, elle a annihilé son existence « d’avant », depuis quinze ans. La rencontre avec un enfant déclenche une renaissance.

Dans ce premier roman, Astrid Waliszek, journaliste, puis psychanalyste, raconte l’histoire peu vraisemblable d’une héroïne autrefois sculpteur et peintre qui a réduit sa vie à néant à la suite d’un drame personnel. L’écriture est lente et laborieuse, l’ennui gagne et les multiples réflexions ont du mal à susciter l’intérêt du lecteur.