Cela se confirme : Nanami et Tomoé ne sont pas insensibles l’un à l’autre. Mais voilà que l’adolescente, attendrie, saisit un serpent blanc, messager des dieux, dans sa main; celui-ci lui fait une marque au poignet, signe qu’ils sont désormais fiancés. Nanami n’a aucune envie de quitter son temple – ni Tomoé. Comment se sortir de cette situation ?Les dessins fragmentés sont toujours aussi vivants et dynamiques. Quant à l’intrigue, elle marque le pas: peu de rebondissements, des épisodes étirés, sans grand intérêt, telle l’invitation chez la princesse Naïade. Et surtout, comme dans tout shojo qui se respecte, Nanami se voit désormais nantie de deux soupirants. D’où des développements très « eau de rose » et guère passionnants.
Divine Nanami ; 3
SUZUKI Julietta