La semaine est finie au zoo, mais les éléphanteaux ne peuvent pas s’amuser au bord de la mer avec les autres animaux parce que leur père dort. IL RONFLE ! Il ronfle tellement que les voilà propulsés dans les airs par son souffle. Et ils atterrissent… à la plage ! Plus tard, Maman Éléphant les rejoint par la même voie des airs. Ils passent une délicieuse journée au bord de l’eau, puis s’endorment tous pour la sieste. À leur tour de ronfler au point de faire venir papa éléphant.
Toute la famille est réunie et l’harmonie retrouvée s’inscrit en notes de musique sur les dos griffonnés de gris. Tous, ainsi que les animaux rencontrés lors de la fête initiale, tirent leurs expressions et leur dynamisme de ces entrelacs de lignes derrière lesquels on distingue des extraits de journaux. Trompes en avant et joues roses les éléphanteaux s’envolent, sous l’effet des vibrations. Le bruit, autrement perturbateur, est évoqué dans la demi-page documentaire – due à un chirurgien ORL – qui conclut l’album.