Le pilote du diable (Wunderwaffen ; 1)

NOLANE, MAZA

AoĂ»t 46. Le dĂ©barquement de Juin 1944 a Ă©chouĂ© et Hitler a Ă©chappĂ© Ă  un attentat qui lui arracha un bras. Les combats aĂ©riens font rage entre les forteresses volantes des alliĂ©s et les escadrilles du dernier chasseur Ă  rĂ©action de la Luftwaffe. La guerre s’éternise, et le FĂŒhrer s’obstine Ă  crĂ©er des armes extraordinaires, des Wunderwaffen, qui doivent alimenter la propagande et surtout terrasser les adversaires. Tandis que de Gaulle, Ă  Londres, suit l’évolution des rĂ©alisations allemandes grĂące Ă  un ingĂ©nieur français Ă©vadĂ© du centre de recherche nazi, Hitler dĂ©core, Ă  contre coeur (il lui trouve un air de juif)), un as des combats aĂ©riens, qui peine Ă  cacher son aversion pour son chef suprĂȘme.

Cette uchronie, qui imagine une rĂ©Ă©criture de la seconde guerre mondiale, se base sur la crĂ©ation d’armes redoutables s’inspirant des rĂ©ussites technologiques des V1 et V2. C‘est ainsi qu’apparaissent des avions modernes, lĂ©gers, rapides et efficaces, dignes de rĂ©cits de science-fiction. Les combats aĂ©riens sont dynamiques et rĂ©alistes. Les personnages historiques, mĂȘme s’ils semblent figĂ©s telles des faces de cire, sont reconnaissables. Les voilĂ  embarquĂ©s dans une histoire dont on attend avec intĂ©rĂȘt les dĂ©veloppements issus de l’imagination du scĂ©nariste.Â