Nicolas Werth prĂ©sente la traduction d’une partie de The year of Stalingrad publiĂ© en 1945 par son pĂšre, Alexander, dâorigine russe, alors correspondant en URSS pour les mĂ©dias britanniques. La description du mouvement des armĂ©es au cours de la guerre nâest que le support dâune excellente analyse, vue du cĂŽtĂ© soviĂ©tique, des mobiles psychologiques et politiques qui, en haut lieu, ont dĂ©clenchĂ© lâenfer. La propagande soutenait le moral des troupes dont les conditions de vie Ă©taient effroyables, surtout pour les soldats allemands. Document historique appuyĂ© sur des lettres de combattants, de nombreuses analyses militaires, des articles parus au jour le jour dans lâĂtoile rouge principalement, mais plus encore un rĂ©cit trĂšs personnel. En effet, Alexander Werth a Ă©tĂ© lâun des premiers journalistes Ă dĂ©couvrir Stalingrad, quelques jours aprĂšs la reddition. En point dâorgue, son Ă©mouvant face-Ă -face avec Paulus et lâĂ©tat-major de la Wehrmarcht en un lieu tenu secret. Un tĂ©moignage  »à chaud » saisissant.
Stalingrad
WERTH Alexander