À la recherche de Ron Jantscher, jeune violoniste enlevé sous ses yeux, Sherlock Holmes atterrit dans un cul-de-basse-fosse de la bande des Moriati (des malfaisants pervers et puissants). Alors qu’il va passer sur la chaise électrique, il est délivré par Paterson, un ancien de la bande qui veut se venger de ses ex-employeurs. Mais rien n’est simple en eau trouble. Les cadavres s’accumulent et Holmes, trop épris de liberté, ne peut devenir policier malgré le souhait des patrons de Scotland Yard.
Ce deuxième album termine le diptyque consacré à la jeunesse du détective de Baker street. Les lecteurs assidus de la série apprécieront. Les autres vont rester dubitatifs car il faut parfois un décodeur pour s’y retrouver parmi les flash back, les rebondissements et les règlements de comptes… le tout dans une ambiance glauque propre à ce polar victorien.