Le mage de Milan (Prospero ; 1)

Le capitaine Montano peine à endiguer l’action du Sceau noir, dirigé par Alfieri, qui sème le désordre dans le duché de Milan et rêve la mort du duc. Le Signor Montelepre sera l’exécuteur grâce à ses sortilèges qui devront aussi agir dans le coeur de la belle Graziella pour la détourner de Lorenzo. Pendant ce temps, Prospero, le fils du duc, s’initie à la magie en compagnie de son ami Lorenzo : Pyramanda, la salamandre fille du feu, sera son alliée. L’affrontement du sorcier et du mage est le point culminant du récit.

Sauvé par un certain humour, cette histoire de sorcellerie est résolument optimiste. Des personnages truculents peuplent un scénario de cape et d’épée sans mystère où les méchants sont punis et les démons vaincus. Les dignitaires ecclésiastiques ramassent au passage quelques quolibets. Il faudra attendre le second volume pour savoir ce qu’il adviendra de Prospero.