En plein été, en Belgique sur la côte flamande, le corps superbe d’une jeune femme est retrouvé. Sur sa fesse gauche est tatoué un caractère runique. Le commissaire Van In et son fidèle adjoint enquêtent. Un nouveau crime atroce est commis à Bruges ; la victime porte le même tatouage, signe d’appartenance à un groupe d’extrême droite, néo-nazi. Plus tard, l’enlèvement d’un catholique intégriste est revendiqué par un mystérieux groupuscule islamiste inconnu. Enfin le procureur lui-même est enlevé… Peter Aspe est l’auteur de nombreux romans (Dernier tango à Bruges, NB septembre 2014) et la même équipe de policiers tient toujours la vedette. Leur vie privée occupe une large place dans le récit. L’atmosphère de Bruges, l’attitude des notables devant la situation inquiétante sont largement évoquées, mais l’affaire est compliquée à plaisir et sa chute peu convaincante.
La femme tatouée
ASPE Pieter