100 000 canards par un doux soir d’orage

Tout commence avec Ginger, une tonique Américaine de 18 ans. Elle  débarque dans un coin perdu d’Angleterre où se donne un festival de musique. Le lieu est étrange, infesté de canards au regard hostile. Ginger se sent épiée. Sa peur grandit. Personne ne la croit et pourtant, elle a raison : les canards sont bel et bien devenus dangereux… Ce qui arrive ensuite est inimaginable…

 

Attention récit complètement loufoque ! Dans la lignée de son premier livre 50 Cents, le jeune Thomas Carreras invente une histoire délirante qui surprend à tout moment. Jouant avec les codes, il se permet tout. Le récit bascule dans le fantastique et l’horreur avec une telle jubilation que l’histoire tourne à la parodie. Faisant intervenir Mick Jagger, Village People ou Stevie Wonder, il ne ménage personne. Le sang gicle, les héros meurent les uns après les autres. Les situations sont détonantes. C’est drôle tellement c’est énorme. Un récit dopé par des références aux films d’horreur, aux séries, à la musique pop rock. L’écriture crue déborde d’énergie. On adhère ou pas. (F.E. et C.B.)