Au fin fond de la Sardaigne, lâogre Babborco a conclu un accord avec les habitants : quâon lui livre tous les jours un bon repas, et il sâengage Ă ne plus toucher Ă leurs petits. Au tour de Pietrino dâapporter un plat de gnocchis, dĂ©vorĂ©s en route, et quâil tente de remplacer par des gnocchis de crottes de chĂšvre. Mais impossible de tromper un ogre.
 Comme dans les deux autres contes, lâamour familial joue un rĂŽle important, chacun profitant des mots et accents propres Ă chaque pays, dans le bon C.D. dâaccompagnement. Le premier, le plus long, garde une saveur populaire, accordĂ©e aux illustrations dâun village reculĂ© fort des couleurs des pays du Sud. Suivent Helena Ivan et les oies, conte russe oĂč l’on retrouve la terrible Baba Yaga et Fillettes et gros alligator, menacĂ©es par l’appĂ©tit d’un monstre du marais. (B.A.) Â