L’appel (Birth right ; 2)

Mickey voit en rêve le dieu Lore, mais ce n’était pas une menace. Handicapé par une vieille blessure de guerre, il doit trouver un abri en compagnie de Brennan, car une longue route les attend le lendemain. Ils partent à la recherche des lames des champs de l’éternité.  Il leur faudra affronter Becca. Ce ne sera pas sans danger, mais peu de chose face aux maléfices qui les attendent. Pendant ce temps, leur père subit un interrogatoire : pourquoi les a-t-il laissé partir alors que l’un d’eux est devenu une menace ?  Wendy, quant à elle, n’est pas surprise de la visite de Rya : elle avait vu le dessin de cette guerrière ailée dans les carnets de son fils.  Beaucoup de magie, des mondes qui s’interpénètrent, des retours en arrière : on est vite pris dans un tourbillon où le monde ordinaire et l’univers fantastique se mêlent dans un scénario dense. Plutôt gentil garçon, Mickey lutte contre l’influence néfaste du Sans-Esprit dans sa conscience et doit se faire violence pour invoquer parfois ses pouvoirs spéciaux. Le dessin peut évoluer sans transition entre un certain classicisme coloré et un fantastique exubérant. (P.P. et A.R.)