La littérature conserve ce qu’on voudrait ou pourrait oublier, elle est l’arme contre l’oubli et l’oubli politique, l’auxiliaire de la résistance. Les textes des morts permettent aux survivants de parler aux fantômes, aux victimes disparues, telle Razan Zaitouneh, jeune avocate, opposante syrienne au régime de Bachar el-Assad : ses mots continuent à mener le combat interdit. Ils font aussi revivre la pluralité…
Croire : sur les pouvoirs de la littérature
AUGIER Justine