On pense à ces vieilles boites à souvenirs qui conservent avec ferveur des éclats de notre enfance, photographies ou menus objets, accroche-mémoire contre l’oubli. Un homme, le narrateur, fait ce voyage dans un temps où une couverture sur l’herbe verte de la prairie délimitait son territoire, séparait le chez-soi du dehors. Voilà qui donne le ton ! Ce roman est ainsi…
Magdalène
PEIGNARD Georges