L’auteur raconte l’histoire de son adolescence et évoque avec enthousiasme le Tarn-et-Garonne, plus précisément le village de ses grands-parents, Malause. Ses parents étant enseignants, il a habité divers collèges de la région parisienne. Mais chaque été le ramenait vers le Sud-Ouest et ses habitants, la Garonne, les peupliers, la couleur de l’eau, le grand-père un peu distant, la grand-mère au tablier de satinette, les habitants pittoresques, les fêtes votives…
C’est du Delerm habituel avec ce style évocateur et coloré qu’on lui connaît bien maintenant. Le récit est attendrissant et… un peu ennuyeux. La mode des souvenirs d’enfance commencerait-elle à lasser un peu ?