Marie retrouve son fils Simon après un séjour de six mois. Il aurait dû passer deux ans là-bas, mais la misère, un cyclone, une crise de paludisme ont ébranlé ce jeune trop idéaliste. Simon ressent ce retour anticipé comme un échec personnel. Quant à Marie, très impliquée dans la vie de l’Église, elle s’active auprès des jeunes en difficulté et de son équipe de JOC en courant d’une réunion à l’autre. Simon, déprimé, un peu trop seul, tente de se suicider.
Dans ce nouveau roman, Yves Viollier esquisse à nouveau un beau portrait de femme (La Mère, NB décembre 2007) qui, par son courage, sa foi chrétienne inébranlable, sa confiance en la vie, réussit à insuffler à son fils force et volonté pour surmonter l’adversité.