Au nom du fils (Fog ; 8)

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Fin d’un diptyque hivernal, toujours à Londres en 1877, sous la neige : l’inspecteur Andrew Molton continue de poursuivre les assassins dans les bas-fonds de la capitale, l’écrivain Rupert Graves de connaître les succès littéraires, la belle Mary Laucenston de s’intéresser au trésor égyptien apporté dans les soutes du navire du richissime Colonel Blake, qui doit faire l’objet d’une exposition au Crystal Palace.

L’intrigue, sujette à un texte doublement envahissant, voix off et bulles, est finalement moins tarabiscotée que le dessin. Elle se découvre plus facilement que ne se goûtent ces cases aux coloris délavés indéfinis, aux visages déformés, aux personnages ou décors noyés sous les hachures, les aplats de noir et les courbes. Un graphisme ayant certes une réelle identité, mais qui peut lasser.