âOn ne mourait pas au bagne, on y agonisait indĂ©finiment.â AprĂšs ses dĂ©boires dans les tranchĂ©es dans « Pinard de Guerre », Ferdinand Tirancourt se retrouve au bagne de Cayenne pour y purger une peine qui, comme celle des autres insoumis dont il va partager le quotidien, sera longue et dĂ©finitive. EnvoyĂ© au terrible camp forestier de Charvein, rĂ©servĂ© aux fortes tĂȘtes,…
Bagnard de guerre ; 2
PELEAZ Philippe, PORCEL Francis