C’est la nuit, les poussins dorment dans leur chambre préférée. Un orage éclate, « des éclairs mauvais » détruisent leur maison. Le Kontrôleur des Kastatroffes leur réclame « LA MENDE ». Les poussins effrayés s’enfuient à sa recherche. Ils vont voir la mère des arbres du monde entier, et de rencontre en rencontre, d’aventure en aventure, découvrent que personne ne connaît LA MENDE. Néflère-toutou leur apprend que le Kontrôleur lui-même ne sait pas ce qu’est LA MENDE et va les aider à l’anéantir.
Quel bonheur de retrouver Blaise le poussin masqué et ses copains. Ils sont toujours aussi fous. Ils cherchent à leur façon en jouant et en étant sérieux. Le poussin masqué a même « une crise de gigotrouillure », il en perd son masque. On adore voir leur tête, leurs multiples activités, leur décontraction et leur concentration. Chaque page est un monument d’humour, de poésie et d’invention hilarante. Un nouveau Ponti qui garde intactes son insolence et sa créativité.