À Paris, à la fin du XVIe siècle, le chevau-léger Gilles Bayonne enquête pour le compte du chancelier du roi sur une série de meurtres étranges. Des animaux en sont les artisans ! Ainsi un brave curé, enduit de miel, enfermé dans un tonneau, est dévoré jusqu’à l’os par des rats affamés ; justement il détestait ces bêtes ! D’autres meurtres du même acabit continuent de se produire à l’autre bout de la ville. Qui sont les vrais coupables ?
Cette deuxième enquête du cavalier Bayonne, toujours suivi du fidèle page Pique Lune, met en scène la même époque que dans Un chien du diable (NB mai 2006). Détails et expressions de l’époque, descriptions historiques campent l’arrière-plan de ce roman de cape et d’épée qui n’arrive pas à soutenir l’attention du lecteur perdu dans ces multiples épisodes et personnages superflus. Si l’on pense à Alexandre Dumas, c’est pour regretter son art de l’intrigue et du suspense. C’est long, très long et difficile à suivre…