Dans la famille Wimbledon, il y a Stanley le chien, Max le chat, les parents et quatre enfants. Une nuit, ils sont rĂ©veillĂ©s Ă tour de rĂŽle par de drĂŽles de bruits ! Ă chaque fois le pĂšre dĂ©couvre Stanley qui bricole dans la maison : il rĂ©pare la cuve Ă mazout, il refait la plomberie, etc. La famille nâen peut plus ! Au moment oĂč le pĂšre se dĂ©cide Ă aller lui parler, ils sont projetĂ©s dans les airs et se retrouvent sur la Lune. Stanley voulait juste aller retrouver sa fiancĂ©e, une mignonne (et Ă©trange) chienne, toute rose de bonheur. Les inventions de Stanley sont hilarantes ! Des tuyaux et des objets dans tous les sens, des constructions invraisemblables. Le texte, construit sur la rĂ©pĂ©tition, annonce calmement les occupations en les « rationalisant ». On assiste au dĂ©filĂ© de la famille qui finit Ă©puisĂ©e par les rĂ©veils successifs. Le chat dessinĂ© avec une multitude de mimiques toutes aussi drĂŽles les unes que les autres subit le premier les consĂ©quences des bricolages. Le contraste entre la banalitĂ© du texte et la succession de cocasseries provoque le fou rire. (A.D.)Â
C’est juste Stanley
AGEE Jon