C’est trop bien ; 3

Quelquefois la vie « c’est trop bien » ! Par exemple attendre la neige et se dire que tout peut se transformer, faire une cabane dans sa chambre, dormir chez un copain et chuchoter dans la nuit, être plongé dans une BD qui vous fascine dès la première image, papoter avec sa grand-mère, grimper dans un arbre… C’est trop bien de sentir, de rêver, de goûter les petits bonheurs de tous les jours ! Après C’est bien et C’est toujours bien, Philippe Delerm continue à égrener, en textes brefs, les bonheurs de l’enfance. Le narrateur, un rêveur d’une dizaine d’années, est capable de goûter aux plaisirs minuscules chers à l’auteur. Des plaisirs intemporels qui rappelleront à chacun sa propre enfance et le charme des saisons qui passent. Des textes appréciés des enseignants, à partager entre adultes et enfants. On aimera ces petites bouchées de bonheur pleines d’un charme subtil, à moins qu’on ne se lasse de la petite musique Delerm… (F.E. et A.-S.D.)