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Une maman raconte à son enfant le monde à venir, ou du moins ses espérances et ses rêves car pour l’instant il faut travailler. Ce court poème chinois, traduit par François Cheng, fait appel à des notions peu compréhensibles par de jeunes enfants. Mais ils se laisseront porter par le texte optimiste, savourant les illustrations très claires qui offrent une promenade mère–fils dans la campagne et à travers un village chinois. Une information sur l’auteur aurait été bienvenue.