L’histoire se termine avec ce quatrième tome. Les trois premiers montraient comment chaque aîné de trois générations successives voyait son destin interrompu comme l’annonce une prédiction. Sa mort aurait été programmée à son trente-troisième anniversaire, comme mentionné sur un cahier secret. Cela sera-t-il le cas pour l’un des deux jumeaux dont on ne sait pas qui est l’aîné ? Diane, le peintre qui commence à avoir quelque succès à Paris, ou David, parti pour des raisons humanitaires dans un Rwanda au début du génocide entre Hutus et Tutsis ? Comment Diane doit-elle faire pour éviter que la malédiction ne s’applique à son frère ?
Un vieil oncle apportera à chacun des deux une issue à cette impasse après avoir quitté son Amérique latine et accompagné la jeune femme jusqu’au fin fond du centre de l’Afrique. L’aventure s’arrête donc après avoir connu diverses formes de relations humaines plus ou moins positives ou négatives. Le dessin agréable, classique et homogène a permis de suivre une histoire vraisemblable malgré le changement de scénariste à chaque opus.