Marion vit en colocation avec Simon, Alban et Théo, trois personnages farfelus et parasites sociaux, pendant qu’elle entretient une liaison avec Antoine, conventionnel et carriériste. Cependant elle hésite à s’engager davantage avec Antoine car elle est secrètement amoureuse du fantasque Simon… Mais qui est le véritable prince charmant ?
Dans un style à la « Bridget Jones » mais moins drôle, le lecteur suit les tribulations mentales et sexuelles d’une héroïne bien fade et superficielle qui retiennent peu son intérêt même si ce livre se lit aussi facilement qu’un article de journal féminin. D’après sa préface, ce roman serait une intelligente variation du roman de Nicolas Rey, 13 minutes. Tous les personnages seraient repris mais l’histoire serait racontée du point de vue de Marion. L’idée de l’auteure serait dans ce cas intéressante mais il aurait mieux valu partir d’un ouvrage plus connu. La fin, qui se veut romantique, est grandguignolesque.