Parcourant l’univers, Malice et son chat fantôme atterrissent sur la planète Stonehenge – référence obligée au célèbre site mégalithique anglais – et commence la dernière bataille pour échapper à l’infâme Zuochi. Mais pas question de laisser ses amis yokaïs dans les griffes de celui-ci. Partie difficile à mener : elle a partiellement perdu ses pouvoirs magiques.Cette finale reste digne des qualités admirées dans le tome 1 (Yôkaï di Yôkaï da, NB avril 2012). La mise en page variée et les couleurs explosives sont directement inspirées des mangas, les abondants mots japonais sont sans doute familiers aux initiés qui se régaleront. Les autres lecteurs devront se référer fréquemment au lexique, et/ou être amateurs de ces jeux vidéo exigeant rapidité et bonnes connaissances des codes de communication pour le commun des mortels…
Histoire de yôkaï chinois (Malice et catastrophe ; 3)
MORJA