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Fin du cycle 1 avec un épisode relativement déconnecté du tome précédent (Adieu Calder, NB/LJA Juin 2007) qui présentait la rivalité entre Calder le voyou et Richard l’intègre, tous deux fils d’un richissime pater familias bostonien sans scrupules, au début du XXe siècle. Calder a été invité à s’exiler alors que Richard, substitut du procureur, est amené à requérir la peine de mort contre un pauvre hère, accusé d’avoir violé et tué une fillette. Un an après la pendaison du coupable, il s’aperçoit qu’il a été manipulé par la police et les notables de la ville qui protègent l’un d’entre eux. Ulcéré, il décide de faire justice lui-même, au mépris de la légalité…
La voix off qui commente l’action est celle de l’homme de main de la famille, un black impassible. Le dessin réaliste se déguste, l’intrigue est classique, a même un air de déjà vu : son frère aîné étant mort, l’honnête cadet va prendre la relève du père et tourner au maffioso. Mais le tout reste distrayant.