Quatre jeunes filles pauvres venant d’horizons divers travaillent dans des ateliers de soierie lyonnaise en 1869. Elles sont « ovalistes » chargées des bobines où s’enroulent les fils de soie dans les moulins ovales, douze heures par jour, six jours sur sept, logées dans les dortoirs de la fabrique. Toia, Rosalie, Marie et Clémence ne savent ni lire ni écrire et parlent…
Il n’y aura pas de sang versé
DESBIOLLES Maryline