Nous sommes dans le beau monde à New York : smokings, réceptions, jolis décors. Don, un pilote automobile, est l’amant. Monty, le mari, est au courant et assez cynique par rapport à la situation, manipulateur même… Quant à l’épouse, elle joue sur les deux tableaux et conclut d’ailleurs de façon totalement désabusée : « Pourquoi devrais-je choisir si j’ai besoin des deux ? ». Il s’agit d’une réédition, à l’italienne, d’un ouvrage en A4 datant de 1991 : on a donc une rotation à 90° du format, mais pas de changement notable dans le scénario ni le texte. Le dessin de la couverture n’est pas modifié, seulement sa décoration… Dans l’ensemble, le dessin et la colorisation font fortement penser aux premiers Blake et Mortimer. Cette sensation est d’autant plus prégnante que l’intrigue pourrait très bien se situer dans la même période. On retrouve bien l’ambiance du New York des années folles. (H.T. et Y.H.)
Jamais deux sans trois
FROMENTAL Jean-Luc, FLOC'H