En vacances Ă la ferme des grands parents, Anatole a rĂ©ussi Ă apprendre au chat Koshka le langage humain. Depuis, celui-ci dĂ©tient une certaine autonomie au foyer. Plus question de lui imposer des croquettes alors quâun beau poisson est si tentant. Mais mener son maĂźtre par le bout du nez semble avoir des avantages et des inconvĂ©nients.  Des sketchs dâune ou deux pages dâun animal futĂ© et douĂ© de la parole. Le chat blanc et noir, pelage aux couleurs mal rĂ©parties, enchaĂźne bĂȘtises et succĂšs quand il arrive, non sans mal, Ă dresser le chien du voisin. La bande dessinĂ©e Ă la couverture souple a un parfum un peu surannĂ©, dans une mise en page classique de dix Ă douze vignettes par planche. Avec trĂšs peu de texte, cet album gai et amusant est facile Ă lire seul dĂšs sept ans. Ce personnage, cĂ©lĂšbre en Russie, a eu un grand succĂšs dans son pays.(A.T.)
Koshka au centre du monde
SNEGUIRIOV AndreĂŻ, SNEGUIRIOV Natalia